Qu'est-ce que la dominance incomplète dans les interactions alléliques ?
La dominance incomplète est un type d'interaction allélique où l'hétérozygote présente un phénotype intermédiaire entre les deux homozygotes. Par exemple, si une fleur rouge croisée avec une fleur blanche donne des fleurs roses, cela illustre la dominance incomplète.
Quels sont les différents types d'interactions alléliques ?
Les principaux types d'interactions alléliques incluent la dominance complète, la dominance incomplète, la codominance, et les allèles létaux. La dominance complète se manifeste lorsque un allèle masque complètement l'effet d'un autre, tandis que dans la dominance incomplète, une combinaison des phénotypes parentaux est visible. La codominance se produit lorsque deux allèles s'expriment simultanément sans se masquer. Enfin, les allèles létaux peuvent causer la mort lorsque présents en homozygote.
Comment les interactions alléliques influencent-elles l'apparence phénotypique d'un organisme ?
Les interactions alléliques influencent le phénotype en déterminant comment les différents allèles d'un gène s'expriment. La dominance et la récessivité peuvent masquer ou révéler certains traits. L'interaction d'allèles codominants ou incomplets produit des phénotypes intermédiaires ou une expression simultanée de traits. Des interactions complexes peuvent modifier l'intensité ou la présence des caractéristiques phénotypiques.
Comment les interactions alléliques peuvent-elles affecter la variation génétique au sein d'une population ?
Les interactions alléliques, telles que la dominance, la codominance et l'épistasie, modulent l'expression génique et influencent la variation phénotypique. Elles peuvent masquer ou révéler certaines variantes alléliques, affectant ainsi la diversité génétique transmise entre les générations et l'évolution des traits au sein d'une population.
Qu'est-ce que la codominance dans les interactions alléliques ?
La codominance est une interaction allélique où deux allèles d'un même gène s'expriment simultanément et de manière égale chez un hétérozygote. Un exemple classique est le groupe sanguin AB, où les allèles A et B sont tous deux exprimés, résultant en un phénotype distinct.