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Comprendre les bases du droit caritatif
Le droit caritatif est une partie importante du système juridique et a une longue histoire en Angleterre et au Pays de Galles. La loi a évolué au fil du temps pour réglementer les organisations caritatives et s'assurer qu'elles agissent dans l'intérêt public. Pour bien comprendre les complexités du droit caritatif, il est important d'explorer son histoire, ses concepts clés et le cadre juridique qui régit les organisations caritatives.Histoire et développement du droit caritatif anglais
L'histoire du droit caritatif en Angleterre remonte au règne du roi Henri VIII au 16e siècle. Le Charitable Uses Act 1601, également connu sous le nom de Statute of Elizabeth, est souvent considéré comme le fondement du droit caritatif anglais moderne. Cette loi a fourni une définition juridique des fins de bienfaisance et a établi un cadre pour la réglementation des organismes de bienfaisance par l'intermédiaire de la Cour de chancellerie.Au cours des siècles, le droit caritatif a évolué à la fois par la jurisprudence et par la législation. Parmi les étapes importantes, on peut citer le Charitable Trusts Act 1853, qui a créé la Charity Commission pour l'Angleterre et le Pays de Galles, et le Charities Act 1960, qui a jeté les bases d'une grande partie de la structure réglementaire actuelle.
Concepts et principes clés du droit caritatif
Pour comprendre le droit caritatif, il est essentiel de se familiariser avec certains de ses concepts et principes clés :But caritatif : Pour qu'une organisation soit considérée comme un organisme de bienfaisance, elle doit avoir un but de bienfaisance. Celui-ci est défini comme la poursuite d'un objectif spécifique qui bénéficie à la société ou à une partie de celle-ci. Il existe actuellement 13 catégories de fins caritatives, dont l'avancement de l'éducation, le soulagement de la pauvreté et la promotion du bien-être des animaux.
Bienfait d'intérêt public : les organisations caritatives doivent également démontrer qu'elles fournissent un bienfait d'intérêt public. Il peut s'agir de services, de secours ou de ressources qui ont un impact positif sur la société ou sur des groupes spécifiques au sein de celle-ci. L'organisme de bienfaisance doit démontrer que ses avantages sont accessibles au grand public ou à une partie suffisante de celui-ci.
- Administrateurs : Les organismes de bienfaisance sont gérés par des administrateurs, qui ont l'obligation légale d'agir dans l'intérêt supérieur de l'organisme et de remplir leur rôle de manière responsable. Ils doivent notamment s'assurer que l'association remplit ses objectifs caritatifs, gérer efficacement les ressources et se conformer à la loi et aux réglementations en vigueur.
- Gouvernance : Les organismes de bienfaisance sont régis par un ensemble de règles (généralement une constitution ou un acte de fiducie) qui décrivent l'objectif de l'organisme de bienfaisance, ses pouvoirs et la façon dont les décisions sont prises. Les administrateurs sont responsables de la mise en œuvre et du respect de ces règles.
Par exemple, un organisme de bienfaisance qui vise à fournir des ressources éducatives aux enfants des communautés à faible revenu devra démontrer son objectif de bienfaisance (avancement de l'éducation) et son intérêt public (cibler les enfants défavorisés qui pourraient ne pas avoir accès à ces ressources).
Cadre juridique des organisations caritatives
Le cadre juridique des organisations caritatives en Angleterre et au Pays de Galles est principalement établi par le Charities Act 2011. Cette législation fournit la structure réglementaire nationale pour les organisations caritatives et définit les règles et les principes qui régissent leur fonctionnement. Certains aspects importants de ce cadre juridique comprennent :Exigences en matière d'enregistrement et de rapports | Les organismes de bienfaisance dont le revenu annuel est supérieur à 5 000 livres sterling doivent s'enregistrer auprès de la Charity Commission et sont tenus de présenter des rapports financiers et d'activité annuels. |
Réglementation en matière de collecte de fonds | Les organisations caritatives doivent respecter les réglementations relatives à la collecte de fonds, telles que le Code of Fundraising Practice, afin de s'assurer que leurs activités de collecte de fonds sont légales, éthiques et transparentes. |
Allégements fiscaux | Les organisations caritatives peuvent bénéficier de divers allègements fiscaux, notamment le Gift Aid sur les dons, l'allègement de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pour certains biens et services, et l'allègement des taux d'imposition sur les propriétés utilisées à des fins caritatives. |
Surveillance de la Charity Commission | La Charity Commission a le pouvoir d'enquêter et d'intervenir dans les affaires d'une organisation caritative si elle soupçonne une mauvaise conduite ou une mauvaise gestion. Elle peut notamment émettre des avertissements formels, nommer des gestionnaires intérimaires ou suspendre des administrateurs. |
Exigences du droit caritatif et conformité
Lors de la création d'une organisation caritative au Royaume-Uni, il existe des exigences et des processus spécifiques qui doivent être suivis pour assurer la conformité avec le droit caritatif. L'enregistrement d'un organisme de bienfaisance implique plusieurs étapes cruciales, telles que la définition de l'objectif de l'organisme, la création d'un document directeur, la nomination d'administrateurs et la demande d'enregistrement auprès des autorités compétentes. Tout d'abord, il est important de déterminer l'objectif caritatif de l'organisation. Comme indiqué précédemment, il existe 13 catégories reconnues d'objectifs caritatifs en vertu de la loi britannique. L'objectif choisi doit clairement s'inscrire dans une ou plusieurs de ces catégories et démontrer l'existence d'un bénéfice public. Ensuite, un document constitutif doit être créé. Ce document décrit l'objectif de l'organisme de bienfaisance, ses pouvoirs, ses procédures de prise de décision et d'autres règles pertinentes. Selon la structure de l'organisme de bienfaisance, le document directeur peut être une constitution, un acte de fiducie ou un ensemble d'articles d'association. Ce document doit être soigneusement rédigé pour s'assurer qu'il reflète les objectifs de l'organisme de bienfaisance et qu'il est conforme aux lois et règlements en vigueur. Lors de la création d'un organisme de bienfaisance, des administrateurs doivent être nommés pour superviser les activités de l'organisation. Les administrateurs assument une responsabilité importante - ils doivent agir dans le meilleur intérêt de l'organisme de bienfaisance, assurer une gestion efficace et défendre l'objectif de l'organisme de bienfaisance et le bien public. Il est essentiel de choisir avec soin des administrateurs qui comprennent leurs devoirs et qui sont pleinement engagés dans la mission de l'organisme de bienfaisance. Une fois ces étapes préliminaires franchies, l'organisme de bienfaisance peut demander son enregistrement auprès de la Charity Commission pour l'Angleterre et le Pays de Galles ou de l'organisme de réglementation respectif pour l'Écosse ou l'Irlande du Nord. Le processus de demande nécessite de fournir des informations détaillées sur l'organisme de bienfaisance, y compris son document de gouvernance, ses administrateurs et ses sources de revenus.Gouvernance et gestion des associations caritatives
Une gouvernance et une gestion efficaces des organismes de bienfaisance sont essentielles pour garantir qu'ils fonctionnent de manière éthique et légale, et qu'ils poursuivent leur objectif de bienfaisance. Les aspects clés de la gouvernance et de la gestion comprennent les rôles et les responsabilités des administrateurs, les processus de prise de décision, la gestion des risques et le respect des politiques et des procédures. Les administrateurs jouent un rôle essentiel dans la gouvernance des organismes de bienfaisance. Leurs principales responsabilités sont les suivantes :- Veiller à ce que l'organisme de bienfaisance remplisse son objectif de bienfaisance et apporte un bénéfice public.
- Maintenir la conformité avec toutes les lois, réglementations et directives pertinentes.
- Mettre en œuvre et faire respecter le document constitutif de l'organisme de bienfaisance
- Gérer les ressources de l'organisme de façon responsable
- Élaborer et mettre en œuvre des politiques et des procédures pour guider les activités de l'organisme de bienfaisance.
En plus des rôles des administrateurs, des processus de prise de décision efficaces doivent être mis en place pour promouvoir une bonne gouvernance. Il peut s'agir d'établir des ordres du jour, de distribuer des informations et d'impliquer les parties prenantes concernées dans les décisions qui ont un impact sur l'organisme de bienfaisance. Des lignes de communication claires doivent être maintenues, et un processus de résolution des conflits doit être mis en place. La gestion des risques est un autre aspect essentiel de la gouvernance et de la gestion.
Les organismes de bienfaisance doivent identifier les risques potentiels pour l'organisation, ses bénéficiaires, sa réputation et sa stabilité financière, et élaborer des stratégies pour atténuer ces risques. Cela peut impliquer la création de plans d'urgence, l'obtention d'une couverture d'assurance appropriée et la surveillance régulière des facteurs de risque. Enfin, le respect des politiques et des procédures est crucial pour une gouvernance efficace.
Ces politiques doivent couvrir divers aspects des activités de l'organisme de bienfaisance, tels que la gestion financière, la collecte de fonds, la sauvegarde et la gestion des bénévoles. Des révisions et des mises à jour régulières de ces politiques permettent de s'assurer qu'elles restent pertinentes et conformes à toute modification de la loi ou des meilleures pratiques.
Rapports et transparence dans le droit caritatif
Le droit des associations caritatives met fortement l'accent sur les rapports et la transparence, dans le but de maintenir la confiance du public et de s'assurer que les associations caritatives rendent compte de leurs actions et de l'utilisation qu'elles font de leurs ressources. Les principaux aspects de la reddition de comptes et de la transparence comprennent les exigences en matière de rapports annuels, la comptabilité et la gestion financières, et la divulgation publique des renseignements sur les organismes de bienfaisance. Tous les organismes de bienfaisance enregistrés auprès de la Charity Commission doivent soumettre un rapport annuel détaillant leurs activités, leur mode de gouvernance et leurs finances. En outre, ils sont tenus de fournir un état financier annuel, qui montre comment les ressources de l'organisme ont été utilisées, ainsi qu'un rapport d'examinateur ou d'auditeur indépendant si les revenus annuels de l'organisme dépassent certains seuils. La comptabilité et la gestion financières sont étroitement liées à l'établissement de rapports et à la transparence. Les organismes de bienfaisance doivent mettre en place des systèmes comptables solides et tenir des registres financiers précis afin de démontrer qu'ils utilisent les fonds des donateurs de manière responsable et dans le cadre de leurs objectifs de bienfaisance. Les administrateurs doivent surveiller régulièrement la situation financière de l'organisme de bienfaisance et s'assurer que des contrôles financiers sont en place pour prévenir la fraude ou l'utilisation abusive des fonds. Enfin, la divulgation publique des informations relatives à l'organisme de bienfaisance est un élément clé de la transparence. La Charity Commission tient un registre public des organismes de bienfaisance, qui comprend des informations sur l'objectif de l'organisation, ses administrateurs et ses activités financières. Les organismes caritatifs sont également encouragés à faire preuve de transparence dans leurs communications avec les donateurs, les bénéficiaires et le public, en fournissant des informations claires et précises sur leurs activités et leurs réalisations. En encourageant la transparence et la responsabilité, le droit caritatif contribue à maintenir la confiance du public dans ces organisations et dans leur travail vital.Différences entre les lois sur les associations caritatives au Royaume-Uni
Bien qu'il y ait des similitudes dans les cadres du droit caritatif à travers le Royaume-Uni, il est important de noter les principales différences entre l'Angleterre, l'Écosse et l'Irlande. En examinant ces différences, tu pourras mieux comprendre les aspects uniques de chaque juridiction et les implications pour les organismes de bienfaisance qui y exercent leurs activités.
La loi sur les organismes de bienfaisance en Irlande : Caractéristiques principales
En Irlande, le droit des associations caritatives est principalement régi par la loi sur les associations caritatives de 2009. Cette loi fournit une structure réglementaire nationale pour les organismes caritatifs, et définit les règles et les principes qui régissent leur fonctionnement. Parmi les caractéristiques notables et les complexités du droit caritatif en Irlande, on peut citer :- Autorité de régulation des associations caritatives (CRA) : L'ARC est l'organisme national chargé de la réglementation des organismes caritatifs en Irlande. Créé en 2014, cet organisme a pour principales fonctions d'enregistrer les organismes de bienfaisance, de contrôler leur conformité et de fournir des conseils au secteur.
- Définition distincte de la finalité caritative : Bien qu'il y ait un certain chevauchement avec les catégories de fins caritatives en Angleterre et au Pays de Galles, le Charities Act 2009 spécifie quatre catégories spécifiques, à savoir : la prévention ou le soulagement de la pauvreté, l'avancement de l'éducation, l'avancement de la religion, et d'autres fins de nature caritative bénéfiques à la communauté.
- Exigence d'intérêt public : Comme en Angleterre et au Pays de Galles, les organismes de bienfaisance en Irlande doivent démontrer qu'ils fournissent un avantage public, et que tout avantage privé est accessoire et nécessaire pour atteindre l'avantage public.
- Documents directeurs : Les organisations caritatives en Irlande adoptent généralement une constitution ou un acte de fiducie en tant que document directeur, décrivant l'objectif, la structure et les processus de prise de décision de l'organisation.
- Exigences en matière d'enregistrement et de rapports : Tous les organismes de bienfaisance opérant en Irlande sont tenus de s'enregistrer auprès de l'ARC, quels que soient leurs revenus. Les exigences en matière de rapports comprennent la soumission de rapports d'activité et de rapports financiers annuels.
- Allégements et exonérations fiscales : Les organisations caritatives en Irlande bénéficient d'une série d'allègements et d'exonérations fiscales, tels que l'allègement de l'impôt sur le revenu, de l'impôt sur les sociétés, de l'impôt sur les plus-values et de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur les biens et services éligibles.
Approche écossaise de la loi sur les associations caritatives
En Écosse, le droit des associations caritatives est principalement régi par la loi de 2005 sur les associations caritatives et l'investissement fiduciaire (Scotland). L'Office of the Scottish Charity Regulator (OSCR) est chargé de superviser la réglementation et l'administration des organismes caritatifs dans la juridiction. Voici quelques aspects clés de la loi écossaise sur les organismes caritatifs :- Définition des fins de bienfaisance : la législation décrit 16 fins de bienfaisance, qui ressemblent beaucoup à celles de l'Angleterre et du Pays de Galles, mais qui comportent certains aspects uniques. Par exemple, l'avancement de la participation du public au sport est une fin de bienfaisance distincte en Écosse.
- Exigence en matière de bienfait d'intérêt public : Comme en Angleterre et au pays de Galles, les organismes de bienfaisance en Écosse doivent démontrer qu'ils ont un intérêt public. Cependant, la définition du bienfait d'intérêt public en Écosse est dérivée de la common law plutôt que de la législation, ce qui offre une certaine souplesse d'interprétation.
- Exigences en matière d'enregistrement et de déclaration : Les organismes de bienfaisance dont le revenu annuel est supérieur à 5 000 livres sterling ou ceux qui demandent un allègement fiscal doivent s'enregistrer auprès de l'OSCR. Les organismes de bienfaisance écossais sont également tenus de soumettre des rapports financiers et d'activité annuels à l'OSCR.
- Gouvernance et gestion : Les obligations des administrateurs et les structures de gouvernance sont largement similaires à celles de l'Angleterre et du Pays de Galles, l'accent étant mis sur le respect de l'objectif caritatif, le bien public et la conformité aux lois et réglementations en vigueur.
- Allégements et exonérations fiscales : Les organisations caritatives en Écosse peuvent bénéficier d'allègements et d'exonérations fiscales, notamment Gift Aid sur les dons, l'allègement de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) pour certains biens et services, et l'allègement des taux d'imposition sur les propriétés utilisées à des fins caritatives.
Comparaison des lois sur les associations caritatives : Angleterre, Écosse et Irlande
Bien qu'il y ait de nombreuses similitudes entre les cadres juridiques de l'Angleterre, de l'Écosse et de l'Irlande en matière de bienfaisance, des différences au niveau d'éléments clés justifient une comparaison. Certaines de ces différences comprennent :- Fins de bienfaisance : Bien qu'il y ait un chevauchement important des catégories de fins de bienfaisance dans les trois juridictions, il existe des différences distinctes, telles que l'inclusion du sport en Écosse et la catégorie plus large des "autres fins de nature charitable" en Irlande.
- Organismes de réglementation : Chaque juridiction possède son propre organisme de réglementation chargé de superviser le secteur caritatif : la Charity Commission pour l'Angleterre et le Pays de Galles, la CRA pour l'Irlande et l'OSCR pour l'Écosse. Ces organismes ont leurs propres règles, directives et exigences en matière d'enregistrement.
- Seuils d'enregistrement : En Angleterre et au Pays de Galles, les organismes de bienfaisance doivent s'enregistrer auprès de la Charity Commission s'ils ont un revenu annuel supérieur à 5 000 livres sterling. En Écosse, l'enregistrement auprès de l'OSCR est obligatoire pour les organismes dont les revenus sont supérieurs à 5 000 £ ou qui demandent un allègement fiscal. En Irlande, tous les organismes de bienfaisance doivent s'enregistrer auprès de la CRA, quels que soient leurs revenus.
- Définitions du bienfait d'intérêt public : Chaque juridiction aborde l'exigence de bienfait d'intérêt public de manière quelque peu différente. Alors que l'Angleterre et le Pays de Galles disposent d'une définition législative, l'Écosse et l'Irlande s'appuient sur des interprétations de common law du bienfait d'intérêt public.
Droit de la bienfaisance - Principaux points à retenir
Charity Law : réglementation et législation des organisations à but non lucratif en mettant l'accent sur la confiance du public et la transparence.
Concepts clés : But caritatif, intérêt public, administrateurs et gouvernance.
Cadre juridique : La loi sur les organismes caritatifs de 2011 en Angleterre et au Pays de Galles ; la loi sur les organismes caritatifs de 2009 en Irlande ; la loi sur les organismes caritatifs et l'investissement fiduciaire (Écosse) de 2005 en Écosse.
Exigences de la loi sur les organismes de bienfaisance : L'enregistrement d'un organisme de bienfaisance comprend la définition de l'objectif de l'organisme, la création d'un document de gouvernance, la nomination de fiduciaires et la demande d'enregistrement auprès des autorités compétentes.
Différences dans la loi britannique sur les associations caritatives : Variations dans les objectifs caritatifs, les organismes de réglementation, les seuils d'enregistrement et les définitions de l'utilité publique en Angleterre, en Écosse et en Irlande.
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