Sauter à un chapitre clé
Après avoir chassé le roi Louis-Philippe Iᵉʳ du pouvoir, la Deuxième République est proclamée. Pourtant, Louis-Napoléon Bonaparte, alors élu président de la République en 1848, s'empare du pouvoir et instaure le Second Empire jusqu'à sa chute en 1871. C'est une nouvelle étape de la Révolution industrielle française, avec l'urbanisation et la modernisation des transports d'un côté, et la mutation de la société française avec l'exode rural, l'émergence du monde ouvrier et la bourgeoisie de l'autre. Pour consolider l'État-nation, la France oscille entre guerre et diplomatie jusqu'à la chute du Second Empire en 1971.
- D'abord, on présentera l'éphémère Deuxième République post-révolution de 1848 et le coup d'État politique du président de la République Louis-Napoléon Bonaparte pour instaurer son régime autoritaire : le Second Empire.
- Ensuite, on abordera l'urbanisation de la France avec les nouvelles étapes de sa révolution industrielle.
- Après, on dressera le tableau de la mutation de la société française avec l'émergence des ouvriers, l'élitisme de la bourgeoisie et l'exode rural.
- On conclura sur les différents efforts militaires et diplomatiques de la France pour s'inscrire dans la nouvelle Europe des nationalités.
De la Deuxième République au Second Empire
La France passe de la Deuxième République (1848–1852) au Second Empire (1852–1871) après la révolution de 1848 qui a pourtant chassé le roi Louis-Philippe Iᵉʳ du pouvoir. La construction de ce nouvel État-nation est à ses balbutiements et la société française telle qu'on la connaît se forme progressivement.
État-nation : juxtaposition d'un ensemble de citoyens qui se considèrent comme liés et appartenant à un même groupe et d'une forme de souveraineté avec des institutions politiques qui consolident le tout
Révolution de 1848
La révolution de 1848 est surnommée la révolution de Février ou troisième Révolution française. Elle met un terme à la monarchie de Juillet (1830–1848) et d'instaurer la IIᵉ République le 25 février 1848. Elle s'inscrit dans un mouvement européen de révolutions qu'on appelle le Printemps des peuples.
1848 remet en question l’ordre institué par le traité de Vienne pour ouvrir une période dont la préoccupation est de « faire nation » ou faire société. Ceci semble impossible sous un régime monarchique archaïque et la société française cherche une nouvelle direction à prendre, celle des idéaux de la Révolution française de 1789 et de ses principes républicains.
Louis-Napoléon Bonaparte, président de la République
Le suffrage récemment devenu universel pour les hommes, des élections sont organisées dans le pays et c'est Louis-Napoléon Bonaparte qui est élu avec 99 % des voix : c'est le retour à une assemblée davantage bourgeoise que républicaine. Il semble que la France n'est pas encore prête à stabiliser sa démocratie.
Louis-Napoléon Bonaparte, élu président de la IIᵉ République et autoproclamé empereur du Second Empire en 1851 lorsqu'il ne parvient pas à recueillir assez de voix, est techniquement le dernier monarque français. Il se fait d'ailleurs appeler le « prince-président » pour son nouveau régime qu'il installe officiellement le 2 décembre 1852 : l'Empire est de retour.
Second Empire : autoritarisme et aspirations démocratiques
Le Second Empire de Napoléon III, c'est avant tout une aspiration à une politique de grandeur. Lui-même affirme que l'Empire permet de maintenir la paix, contrairement à ce que son oncle Napoléon Iᵉʳ instille dans le subconscient des Français. Pourtant, il mène aussi une politique expansionniste et tente de restaurer la grandeur de la France sur la scène internationale. En voici un aperçu :
- 1853–1856 : France et Grande-Bretagne s'opposent à la Russie lors de la guerre de Crimée 1853 pour lutter contre l'influence russe en Méditerranée et soutenir l'Empire ottoman. Succès.
Dès 1859, la France soutient l'unité italienne et s'agrandit de Nice et de la Savoie. Succès.
1861–1867 : les troupes françaises soutiennent l'empereur du Mexique Maximilien de Habsbourg. Échec.
19 juillet 1870 : déclaration de guerre contre la Prusse. Défaite.
Napoléon III mène une politique répressive avec notamment une nouvelle Constitution le 14 janvier 1852 qui lui donne de nombreux pouvoirs, si ce n'est les pleins pouvoirs, dissimulés sous un faux-semblant démocratique pour éviter les soulèvements populaires des républicains.
Louis-Napoléon exile quiconque s'oppose à lui : Victor Hugo ou Edgar Quinet en font les frais malgré les tentatives de George Sand pour les aider.
Néanmoins, le régime prend un tournant libéral à partir de 1862 afin de garantir sa pérennité et accroître ses soutiens. Napoléon III amnistie les opposants condamnés 10 ans plus tôt et accorde plus de place aux débats dans le corps législatif jusqu'à obtention d'une Constitution avec un système semi-parlementaire le 8 mai 1870.
La défaite contre la Prusse d'Otto von Bismarck et l'avènement de l'Empire allemand engendrent la chute du Second Empire le 4 septembre 1870. Néanmoins, cette défaite à la bataille de Sedan inaugure l'arrivée de la Troisième République qui incarne le premier régime républicain pérenne en France.
Première révolution industrielle et urbanisation
Napoléon III stimule l'économie nationale avec le renouvellement de l'urbanisme parisien (Haussmann), la révolution des transports et le soutien de l'État à l'industrie et au commerce avec les fameux grands magasins. À cette époque, la Grande-Bretagne est l'usine du monde et l'empereur français veut rattraper ce retard.
Industrialisation
On observe un renouvellement des modes de production et la mise en place d'une industrie puissante reposant sur des entreprises fiables. Ainsi, toute la géographie de l'industrie française évolue avec l'adoption de la machine à vapeur et la mise en place d'usines à proximité des sites d'extraction du charbon et du fer. Outre l'essor parisien, des centres de métallurgie s'installent dans le nord de la France et en Lorraine.
Qui dit expansion des usines, dit besoin croissant de main-d'œuvre. De plus en plus d'ouvriers sont mobilisés dans des secteurs comme la métallurgie et le textile qui incarnent les fondements de l'augmentation annuelle de 2 % de la production industrielle nationale. Hélas, ça ne suffit pas à rattraper la Grande-Bretagne qui file à toute vitesse.
Modernisation des transports
Cette industrialisation nationale nécessite une révolution et une modernisation des transports pour accompagner la circulation des produits des mines, des entreprises et des campagnes.
Depuis 1838, le réseau de chemin de fer français a son cœur à Paris et s'articule en forme « d'étoile » (étoile de Legrand) à travers l'Hexagone. Le réseau passe de 3 500 km en 1851 à 20 000 km en 1870. Ainsi, on estime qu'approximativement 45 millions de tonnes de marchandises et 110 000 millions de voyageurs utilisent ce réseau sur l'année 1869.
Cette modernisation s'accompagne de celle du réseau de canaux en Île-de-France et dans les pays miniers du Nord et de l'Est pour transporter les matériaux pondéreux (ressources comme le charbon, les minerais ou tout ce qui dépasse les 1 000 kg/m3). Un réseau moderne de télégraphie est désormais disponible pour faciliter la communication.
Commerce et finance en plein essor
Toute cette modernisation implique d'avoir des fonds pour la financer, ce qui pousse Napoléon III à moderniser le système bancaire.
De nouvelles lois encouragent l'actionnariat et l'épargne via des infrastructures comme le Crédit Agricole, Crédit lyonnais, Crédit industriel et commercial, etc. De plus, la Banque de France augmente son encaisse grâce à un afflux d'or venu tout droit de Californie.
Encaisse : montant d'argent réel dont dispose une entreprise
Pour ce qui est du commercial international, au grand dam des patrons qui souhaitent que ça reste national, la France transitionne d'un régime protectionniste à un système axé sur le libéralisme. Un accord de libre-échange entre la France et la Grande-Bretagne est signé en 1860 pour stimuler l'économie nationale et les investissements dans les entreprises locales tout en court-circuitant les voisins européens.
Enfin, la population française de la haute et moyenne bourgeoisie peut désormais acquérir les meilleures productions textiles ou artisanales et industrielles du pays grâce aux grands magasins. Ce sont de gigantesques édifices faisant office de réels temples du commerce.
Le « Printemps », ainé des Galeries Lafayette, est l'un des premiers grands magasins à ouvrir ses portes en 1865. Son créateur est Jules Jaluzot.
Une société française en pleine mutation
Durant la période du Second Empire, la société française est en pleine mutation et l'État poursuit la construction de son identité nationale et internationale.
Élitisme de la bourgeoisie
Le Second Empire est segmenté entre les anciennes et les nouvelles élites, fruits de la croissance économique industrielle et du libre-échange outre-Manche.
Les nouvelles élites comprennent les grands patrons de banque ou d'industrie comme les frères Pereire qui s'inscrivent dans l'air du temps. Ils profitent de tous les secteurs dynamiques de l'économie nationale : chemins de fer, commerce, banque.
La petite et moyenne bourgeoisie aspirent à un confort de vie similaire en calquant leurs goûts sur celui des élites ; malheureusement, leurs moyens sont différents.
Monde rural et exode
Le paysage rural change profondément avec l'avènement des voies de chemin de fer à travers l'Hexagone. En effet, les anciens vignobles d'Île-de-France sont progressivement remplacés par des cultures de primeurs en raison d'une disponibilité nouvellement accrue de vins issus d'autres régions.
Pour développer la production de bois, des zones peu fertiles ou marécageuses sont transformées en forêts de pins, comme dans les Landes.
Les sociétés rurales sont toujours gouvernées par les notables (médecin, notaire...) ou les bourgeois qui y possèdent des résidences secondaires. Ces derniers se chargent de relayer des décisions gouvernementales. En réponse à l'industrialisation et au décollage économique du pays, les jeunes hommes des campagnes partent vers les villes pour être embauchés en tant qu'ouvriers et les jeunes femmes en tant que domestiques. Cela contribue à l'urbanisation et à l'exode rural du pays.
Émergence des ouvriers
L'augmentation de la main-d'œuvre dans les villes implique une mutation sociale de la société et Napoléon III essaye tant bien que mal d'y répondre.
En effet, ce dernier est lié au mouvement du socialisme saint-simonien, un mouvement qui tend à améliorer la condition ouvrière en développant la fraternité et les solidarités au sein du monde ouvrier.
- 1864 : mise en place d'une législation sociale pour redonner le droit de grève aux travailleurs. C'est la première fois en France.
- 1866 : obtention du droit d'association pour les ouvriers.
En 1864, les ouvriers créent l'Association internationale des travailleurs (AIT), qu'on appelle habituellement l'Internationale. Celle-ci s'inspire des idées socialistes de Karl Marx et s'oppose au patronat, à la stratification des classes et aux gouvernements. Les luttes sociales du prolétariat commencent ainsi à prendre un tournant politique et gagnent en influence.
Napoléon III a beau tenter un rapprochement avec quelques législations sociales, sa politique répressive prend le dessus et il fait arrêter les chefs des mouvements ouvriers révolutionnaires ou quiconque incite à des actions radicales. Le peuple recommence à se soulever contre les élites qui les méprisent.
De plus en plus d'intellectuels comme Victor Hugo ou Émile Zola font allusion à ce mouvement ouvrier dans leurs œuvres.
Guerre et paix : un jeu dangereux
Depuis le Printemps des peuples, l'Europe bouillonne et les mouvements nationaux gagnent en popularité. C'est notamment le cas avec l'unité italienne et l'unité allemande. Le maître mot de cette période est « nationalité » ; de fait, l'empereur Napoléon III s'engage en faveur de ce principe et soutient ces mouvements nationaux pour donner à la France une influence diplomatique majeure en Europe.
L'unité italienne
L'Italie est le théâtre d'un mouvement national très actif avec à sa tête, le souverain du Piémont : Victor-Emmanuel II. Ce dernier cherche à moderniser ses États de façon à unifier le plus de royaumes possible sous son aile.
À l'époque, l'Italie est morcelée :
- l'Autriche contrôle le royaume de Lombardie-Vénétie et une bonne partie du reste de la péninsule ;
- l'Italie centrale est régie par les États de l'Église ;
- le royaume de Naples dirige le Sud et la Sicile.
La monarchie piémontaise incarne ainsi le dernier espoir des mouvements issus du carbonarisme ou des insurrections de 1848 menées par Garibaldi pour l'unification italienne. Pour briser la domination autrichienne du pays, des soutiens militaires sont nécessaires : c'est là que la France intervient.
Au départ attentiste de façon à ne pas froisser l'Autriche inutilement, la situation se retourne contre Louis-Napoléon, victime d'un attentat le 14 janvier 1858 par Felice Orsini, l'un des patriotes italiens en exil en France, pourtant protégés par l'Empereur. Celui-ci s'en sort indemne contrairement aux 12 morts victimes collatérales. Cela fait comprendre au souverain le besoin d'intervenir :
Date | Évènement |
21 juillet 1858 | Entrevue de Plombières avec le ministre italien Cavour pour établir une stratégie d'unification de la péninsule. |
Juin 1859 | Victoire des troupes françaises +piémontaises contre celles autrichiennes à Magenta et Solferino. |
1860 |
|
1861 | Le roi piémontais Victor-Emmanuel se proclame roi d'Italie |
La cause italienne donne du prestige à Napoléon III. Cependant, plusieurs de ses décisions vont fragiliser l'alliance avec les Italiens :
Il empêche l'annexion des États de l'Église pour ne pas perdre le soutien des catholiques français.
Il repousse les chemises rouges de Garibaldi à Rome lorsqu'ils tentent de prendre la ville.
Il laisse la Vénétie à l'Autriche pour ne pas les contrarier : le Piémont voit ça comme une trahison.
L'unité allemande
De façon similaire à l'unité italienne, celle allemande s'articule autour d'un État-nation en devenir et de la cause nationale. Le soutien de Napoléon III pour cette unification va se retourner contre l'Empire français.
À cette époque, l'Allemagne (Prusse) est divisée en de nombreux États et c'est l'Autriche qui assure la présidence de la Confédération germanique. Elle regroupe 39 États après le Congrès de Vienne de 1815. Le royaume de Prusse décide donc à partir de 1862 d'unifier le pays autour du chancelier prussien Otto von Bismarck en évinçant l'Autriche. Celui-ci pratique la « realpolitik » et entreprend des actions concrètes pour accomplir ses objectifs d'unité allemande :
guerre et victoire contre le Danemark et l'Autriche ;
dissolution de la Confédération germanique ;
annexion de la plupart des États d'Allemagne du Nord.
Napoléon III commet une maladresse diplomatique en souhaitant monnayer sa neutralité en échange de la possibilité d'annexer le Luxembourg ou la Belgique si un conflit éclate. Bismarck en informe les États d'Allemagne du Sud qui se placent sous la protection de la Prusse. Par ailleurs, la Prusse en profite pour créer la Confédération d'Allemagne du Nord et accroître son influence européenne. C'est une occasion en or pour Bismarck d'unifier le pays. Il nargue la France avec la dépêche d'Ems, ce qui engendre un vague de colère dans l'Hexagone. Le 19 juillet 1870, Napoléon III déclare la guerre à la Prusse.
La dépêche d'Ems est un texte rédigé par von Bismarck le 13 juillet 1870. Son ton insolent et moqueur au sujet d'une demande d'entrevue refusée poliment par le roi de Prusse avec l'ambassadeur français pousse Napoléon III à déclarer la guerre.
Sans alliances, la France est livrée à elle-même. La défaite est écrasante et Napoléon III est fait prisonnier le 1ᵉʳ septembre 1870 ; trois jours plus tard, l'Empire est dissous et la Troisième République est proclamée. Le combat continue en France avec Léon Gambetta, mais suite au siège de Paris par les Prussiens, un armistice est signé à Versailles. Guillaume Iᵉʳ, roi de Prusse, proclame l'Empire allemand le 18 janvier 1871. La France perd l'Alsace et la partie germanophone de la Lorraine. L'idéologie pangermaniste prévaut et l'État-nation allemand est maintenant capable de rivaliser économiquement avec la Grande-Bretagne.
La France dans l'Europe des nationalités - Points clés
- La révolution de 1848 met en place la Deuxième République, qui ne fait pas long feu à cause du coup d'État de Louis-Napoléon Bonaparte qui instaure le Second Empire.
- Des tentatives de réformes libérales et sociales sont faites durant ce régime, mais sont peu concluantes : l'autoritarisme prime sur l'aspect démocratique.
- Le Second Empire est une période riche avec l'industrialisation, l'urbanisation des villes et la modernisation des transports qui génèrent de la richesse dans tout le pays.
- La société française évolue avec l'émergence des ouvriers et l'arrivée de nouvelles élites issues des entreprises florissantes.
- Bien qu'il permette l'unité italienne, Napoléon III commet de multiples erreurs diplomatiques et sert de bouc émissaire à l'unité allemande.
- La France perd la guerre contre la Prusse en 1870, ce qui engendre la chute du Second Empire, la création de la Troisième République et la création de l'Empire allemand.
Références
- Image 1. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Portrait_de_Louis-Napol%C3%A9on_Bonaparte_en_Prince-Pr%C3%A9sident_MET_DP150963.jpg Par Gilman Collection, Museum Purchase, 2005 Autorisé par Public Domain (CC0 1.0 - https://creativecommons.org/publicdomain/zero/1.0/deed.fr)
- Image 2. (https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Railway_map_of_France_-_1850_-_fr_-_medium.svg?uselang=fr) Par Benjamin Smith (https://commons.wikimedia.org/wiki/User:Benjism89) Autorisé par CC BY-SA 4.0 (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/deed.fr)
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Questions fréquemment posées en La France dans l’Europe des nationalités
Qu'est-ce que la révolution de 1848 en France ?
La révolution de 1848 en France met un terme au régime monarchique français (monarchie de Juillet) et instaure la brève Deuxième République. D'autres révolutions se produisent en Europe et on appelle ça le Printemps des Peuples.
Qu'est-ce que le Second Empire ?
Le Second Empire est le régime résultant du coup d'État de Louis-Napoléon Bonaparte (Napoléon III) le 2 décembre 1851. Il sera le dernier monarque français et l'Empire est dissous le 4 septembre 1870 après la défaite contre la Prusse.
Qu'est-ce que la Deuxième République ?
La Deuxième République est le régime républicain qui résulte de la révolution de 1848 contre la monarchie de Juillet. Elle dure seulement 3 ans avant la proclamation du Second Empire par Napoléon III.
Comment se déroule l'industrialisation en France ?
L'industrialisation en France se déroule avec un passage d'une économie agraire à une économie industrielle dès lors que des industries apparaissent et usent de machines. Cette révolution industrielle s'accompagne de nouveaux droits du travail et de la lutte des classes.
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