Égalité des chances

C’est lors de la socialisation primaire que les individus, par le biais de leurs interactions, apprennent à se comporter en société. Ces valeurs et normes sont principalement transmises par la famille. Seulement, nous avons vu lors de notre explication sur la stratification sociale, que certains groupes sociaux au sein de la société française étaient défavorisés par rapport aux autres. 

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    C’est lors de la socialisation primaire que les individus, par le biais de leurs interactions, apprennent à se comporter en société. Ces valeurs et normes sont principalement transmises par la famille. Seulement, nous avons vu lors de notre explication sur la stratification sociale, que certains groupes sociaux au sein de la société française étaient défavorisés par rapport aux autres.

    Ainsi, le thème de cette explication portera sur la notion d’égalité des chances. Celle-ci repose sur le droit d’accès à l’éducation pour tous et l’obligation scolaire. Ceci afin que tout le monde ait l'opportunité d'avoir un avenir favorable, malgré le milieu social d’origine. C’est donc l’école qui va agir comme agent de socialisation. Elle se doit de permettre l'accès à une société plus juste, fondée sur le mérite.

    Nous allons voir dans cette explication le rôle de l’école dans l’égalité des chances. Nous allons constater que malgré certaines démarches menées pour parvenir à plus d’équité, telle que la discrimination positive, l’inégalité des chances persiste. En effet, beaucoup d’individus font toujours face aux inégalités sociales et à la discrimination. Cela affecte leur réussite scolaire, et conjointement leurs futures. L’un des phénomènes qui l’atteste est le plafond de verre, que nous découvrirons ensemble.

    Le rôle de l’école dans l’égalité des chances

    L’école fait partie du processus de socialisation secondaire. C’est-à-dire qu’elle a lieu en second plan, après la socialisation primaire lors de l'enfance, et dure jusqu’à la vie adulte. L’école est donc un lieu de transmission de savoirs, qui permet à l’individu d’intégrer des représentations du fonctionnement de la société.

    En France, c’est l’Éducation nationale qui se charge de transformer les individus en citoyens. Puisque l’école est obligatoire de 3 à 16 ans, c’est par cet intermédiaire que l’État inculque des normes et des valeurs démocratiques.

    Normes : Il s'agit de règles de conduite qui s'imposent au sein d'une société.

    Du point de vue scolaire, les élèves vont découvrir les fondements civiques, les normes juridiques (lois, constitutions, etc.) et distinguer les comportements acceptables ou non. Les individus apprendront à vivre ensemble et à se socialiser.

    Valeurs : règles et principes qui influencent la conduite et les mœurs appropriées. Elles sont instaurées pour faire le bien.

    En ce qui concerne les valeurs, l'école va promulguer l’idéal démocratique de la société.

    L’égalité des chances représente l’idéal auquel aspire toute société démocratique. Nous allons voir par quels moyens l’école tente de véhiculer ses valeurs. Ceci dans un souci d’équité pour tous, afin de réduire les inégalités sociales persistantes.

    Les mesures de l'Etat pour atteindre plus d’équité

    Les sociétés démocratiques prônent certains principes qui organisent et structurent la société. L’égalité des droits, des positions et des chances en font partie. L’école républicaine fut instaurée au XIXᵉ siècle pour répondre à ces idéaux. Voici comment consistent les principaux dispositifs favorisant l’égalité des chances :

    • Un accompagnement et une liberté d’orientation, pour permettre aux jeunes étudiants de poursuivre leur éducation.

    • La mise en place d’établissements d’éducations supérieurs gratuits et accessibles à tous.

    • L’instauration de zones d’éducation prioritaires pour les jeunes vivant dans des lieux défavorisés. Ici, il est question de considérer les inégalités sociales et d’apporter un enseignement adapté.

    • L’interdiction du redoublement.

    • Des dispositifs de bourses d’études, mesures en accord avec le principe de discrimination positive.

    Une politique de discrimination « positive » consiste à avantager certaines catégories de la population, initialement désavantagées, pour améliorer l’égalité des chances.

    Ainsi, nous pouvons constater que la démocratisation scolaire est au cœur des dispositifs étatiques. Ces mesures permettent de répondre à l’idéal social de l’égalité des chances, prôné dans notre constitution française. Cependant, force est de constater que les inégalités sociales restent très présentes, malgré les dispositifs mis en place. Nous allons voir en quoi la déclaration de notre constitution française cité ci-dessous ne prévaut pas toujours.

    « La nation garantit l’égal accès de l’enfant et de l’adulte à l’instruction, à la formation professionnelle et à la culture ». Constitution française

    La persistance des inégalités sociales

    Même si les mesures instaurées par l’État pour favoriser l’égalité des chances sont nombreuses, beaucoup d’inégalités sociales restent notables. Toujours en termes d’éducation, les inégalités scolaires montrent à quel point les résultats déterminent pour une part de la société leur future position sociale. Alors quels sont les outils qui nous permettent de rendre compte de cette inégalité des chances ?

    Mesurer l’inégalité des chances

    Lorsque l’on parle d’inégalités scolaires, nous sous-entendons celles engendrées par les facteurs sociaux. En effet, le milieu d’origine social, le genre ou le lieu vie sont tous des éléments susceptibles de promouvoir les inégalités entre étudiants. Certains outils sont venus appuyer ces dires, en montrant la corrélation entre la réussite scolaire et les niveaux de revenus familiaux.

    L’outil qui permet de mesurer cette inégalité des chances relative au milieu social est le taux de chance relative :

    Les enfants d’ouvriers obtiennent davantage leur baccalauréat qu’en 1960 (45 % aujourd’hui contre 5 % auparavant). En revanche, l’écart avec les enfants de cadres est énorme, puisqu’ils sont 90 % à l’obtenir.

    Le taux de chance relative se mesure en divisant le pourcentage de réussite au baccalauréat par le pourcentage d’échecs. Ceci pour une catégorie donnée. Reprenons l’exemple des enfants de cadres : 90 %/ 10 %. Nous atteignons alors un taux de 9. Pour les enfants d’ouvriers : 0,82. Afin de trouver le ratio d’égalité des chances, on divise les deux résultats obtenus (9/0,82), ce qui fait 11. Nous pouvons ainsi conclure que les enfants de cadres ont 11 fois plus de chance d’obtenir leur bac que les enfants d’ouvriers.

    Égalité des chances, Inégalités origine sociale, StudySmarterFig 1 - Graphique d'inégalité des chances selon l'origine sociale

    Ainsi, l’inégalité scolaire peut s’expliquer par l’origine sociale, mais pas seulement. Parce que les résultats peuvent aussi différer en fonction des individus et des lieux d’établissements. On étudie cela à travers la mesure des écarts scolaires.

    Les écarts scolaires

    On s’est rendu compte que l’inégalité des chances n’avait pas uniquement lieu entre différentes classes sociales. Le lieu de résidence, et donc de poursuite de l’enseignement, joue aussi un rôle. Ainsi, on remarque que le taux de réussite est plus élevé dans les zones de territoire national plus riches. Nous pouvons citer de nouveau les zones d’éducations prioritaires (ZEP). En effet, on remarque que la majorité d’entre elles se situent dans les périphéries des métropoles. L’écart scolaire va venir soutenir ce constat.

    Les étudiants en provenance d'établissements en zones prioritaires ne détiendraient que 35 % des compétences requises en fin de secondaire. Cet écart se creuse nettement avec les élèves de zones plus favorisées, qui en possèdent 80 %.

    Il est important de préciser que l’inégalité des chances ne se détermine pas qu’en termes de résultats. Les écarts de résultats scolaires sont généralement associés à la classe (statut socio-économique), à la race et à l'origine ethnique, ainsi qu'au genre. Les sociologues vont donc étudier comment les systèmes et processus éducatifs influencent les niveaux de réussite des élèves.

    Parce que l'école est aussi un lieu sujet aux discriminations, qui peuvent aller jusqu’à bloquer l’accès au système éducatif. C'est ce que nous allons voir ensuite.

    Discriminations et inégalités d’accès à l’école

    Même si la massification de l’école a permis un accès à l’éducation plus égal, certaines discriminations persistent. Pour laisser parler les chiffres, on recense plus de 100 000 enfants non scolarisés en France aujourd'hui. Ce constat est d’autant plus notable pour les enfants en situation de handicaps ou malades.

    Pour contrecarrer cette situation, une mesure de discrimination positive a été instauré en 2005. En effet, les écoles se doivent d’inclure dans la mesure du possible les enfants en situation de handicap dans des classes ordinaires. Ce dispositif vise à favoriser l’accès à l'éducation pour tous. Et, ainsi, réduire les inégalités sociales qui en résultent.

    Cependant, certaines études ont montré que de nombreuses discriminations persistent. Elles sont relatives au milieu social, au genre, et à l'étiquetage que le corps enseignant émet sur certains élèves. Cela a bien évidemment des répercussions sur les chances de réussite scolaire. Voici ce que ces discriminations impliquent.

    La discrimination scolaire selon le milieu social

    La notion d'étiquetage est importante pour comprendre la discrimination scolaire. Celle-ci fait référence aux stéréotypes que vont avoir certains enseignants sur les élèves. Par exemple, ils ne considéreront pas de la même manière un enfant issu de la classe ouvrière et un enfant fils de cadre. Cela va accentuer les inégalités sociales en influençant la perception que les élèves ont d'eux-mêmes, et donc leurs résultats.

    En effet, L'étiquetage peut conduire à une "prophétie auto-réalisatrice". Une prophétie auto-réalisatrice est un phénomène socio-psychologique utilisé pour décrire une prédiction qui se réalise d'elle-même. Il s'agit souvent d'une étiquette ou d'un stéréotype qui définit de manière positive ou négative tous les membres d'un groupe de la même façon.

    Les élèves vont alors intégrer le jugement des enseignants ; qui va en partie définir l'image qu'ils se font d'eux-mêmes. Ils se comporteront ensuite de manière que ces prédictions se réalisent. Si les élèves de la classe ouvrière sont étiquetés comme étant stupides et pas fait pour les études, beaucoup d'entre eux commenceront à y croire. Cela aura un impact sur leurs résultats scolaires et leur envie de poursuivre une formation supérieure.

    D'autres sociologues affirment que ces différences dans les résultats scolaires et les niveaux de réussite sont dus à la privation culturelle et matérielle. Ce que nous allons découvrir maintenant.

    L'inégalité des chances selon le capital culturel et économique

    Le capital culturel est une expression employée pour déterminer l’ensemble des ressources culturelles d’une personne (le diplôme, savoirs, savoir-faire ou compétences, maîtrise de la langue et des arts, etc.)

    Le capital économique fait référence à la capacité de s'offrir et/ou d'accéder aux ressources et aux services. Les élèves issus de zones et de ménages matériellement défavorisés ont moins de chances de pouvoir s'offrir des livres de révision et des ordinateurs que ceux des zones aisées.

    Le capital culturel est en grande partie transmis par la famille et l'école. C'est d'ailleurs lui qui est à l'origine de nombreuses inégalités sociales. Parce que tout le monde ne dispose pas du même capital. Alors, les élites sont forcément favorisées, car elles ont généralement un accès facilité à la connaissance, par la transmission de leurs parents notamment.

    La réussite scolaire repose en grande partie sur le capital culturel et les connaissances. Ce sont les compétences valorisées par l'école. Cette transmission étant majoritairement familiale, elle est à l'origine du phénomène de reproduction sociale. Elle peut s'observer à l'aider des tables de mobilité des catégories socioprofessionnelle. On remarque, par exemple, que 78,5 % des cadres et professions intermédiaires sont issus de la même classe sociale.

    En France, on observe une interdépendance entre le taux de chômage et le niveau de diplôme. Un jeune qui ne possède aucun diplôme à quatre fois plus de chances d'être au chômage qu'un jeune avec un diplôme bac +2.

    La discrimination scolaire selon le genre

    Des facteurs externes tels que le mouvement féministe ont eu un impact considérable sur la réussite scolaire. Ils ont influencé les lois et les législations, et ainsi réduit les inégalités des chances en fonction du genre. Ainsi, la carrière professionnelle et l'indépendance financière sont devenues plus importantes pour les femmes, ce qui a conduit les filles à prioriser leur éducation.

    La corrélation entre le genre et la réussite scolaire a beaucoup à voir avec la façon dont la société, la famille, l'école et les enseignants interagissent avec les élèves. Les filles ont désormais plus de chances d'être recrutées par les bonnes écoles et d'obtenir de bons résultats scolaires. Cela est dû au fait que les enseignants ont des attentes moins élevées à l'égard des garçons et sont donc susceptibles de leur apporter moins de soutien.

    La discrimination scolaire selon l'ethnicité

    On ne naît pas « Noir » ou « Maghrébin », mais on se considère différent à partir du moment où le regard ethnicisant est mal vécu. Il peut avoir lieu par le biais de discriminations à l'école, et les élèves visés vont avoir tendance à s'identifier comme différent.

    C’est bien la ségrégation ethnique qui crée l’ethnicité et non l’inverse » (Felouzis, 2005)

    Même si l'école a vocation d'accueillir tous les élèves, beaucoup d'inégalités sociales attestent du contraire. Elle a en effet tendance à se débarrasser des élèves qu'elle a du mal à intégrer. Ainsi, selon des récentes études, les élèves d’origine maghrébine vivraient moins bien leur intégration en lycée professionnel que les élèves français ou d'autres origines.

    Ces discriminations sont inopinément reproduites dans d'autres secteurs que l'éducation. Elles se reflètent même sur le marché du logement et de l'emploi. En effet, l'accès à l'emploi et aux ressources économiques est grandement affecté par la possession de diplômes acquis dans le système éducatif. On a développé le terme "plafond de verre" pour parler de ces injustices. Ce sera le dernier sujet abordé dans ce résumé de cours.

    Le plafond de verre - continuité des inégalités scolaires

    Les inégalités sociales en fonction du genre, de l'ethnicité et du milieu social se poursuivent même après l'école. En effet, l'égalité des chances est absente sur le marché du travail. Et, l'on assiste au phénomène que l'on appelle le "plafond de verre".

    Le "plafond de verre" est une expression en provenance des États-Unis dans les années 70. Son terme en anglais est le "glass ceiling". Ce phénomène dénonce le fait que dans une société hiérarchisée, l'égalité des chances n'est pas la même pour tous. En effet, certains individus n'ont pas accès aux positions sociales plus élevés. Cela est dû au mépris des classes jugées inférieures, à la discrimination raciale et au sexisme.

    L'expression "plafond de verre" était initialement employée pour décrire les inégalités hommes/femmes sur le marché de l'emploi. Elle s'étend désormais à toutes les minorités qui font face aux mêmes obstacles.

    Ce terme décrit donc les freins sociaux qui empêchent une promotion professionnelle, sociale ou économique. La métaphore est telle qu'un plafond invisible empêche certains individus de grimper les échelons. Il s'agit d'un réel problème au sein du marché du travail et des entreprises. On remarque que certaines classes sociales font plus l'objet de discriminations que d'autres. Elles sont donc bloquées dans leur ascension professionnelle.

    L'un des cas souvent mentionné pour décrire le phénomène du plafond de verre est l'inégalité face aux postes à responsabilités. Par le fait, les femmes sont beaucoup moins promues que leurs collègues masculins. Elles sont souvent pénalisées jusqu'à leurs 35 ans, car susceptibles de tomber enceintes.

    En France, 93 % des dirigeants de moyennes et grandes entreprises sont des hommes. Début 2008, il n’y avait que 7,64 % de femmes dans les conseils d’administration des sociétés du CAC 40.

    Pourtant, nous avons vu dans ce résumé de cours, que les femmes avaient désormais plus de qualifications. Face à cette injustice, l'état a instauré des mesures pour prétendre à plus d'équité. Par exemple, la loi du 23 mars 2006 pour l’égalité salariale entre les femmes et les hommes. Ce dispositif avait pour but de supprimer les écarts de rémunération en cinq ans. Également de proposer certains aménagements pour mieux articuler vie professionnelle et vie personnelle et familiale. Cependant, plus de 10 ans après, l'écart salarial est encore autour de 15 % entre les deux genres.

    Égalité des chances - Points à retenir

    • L’égalité des chances représente l’idéal auquel aspire toute société démocratique ;
    • Un des dispositifs développés par l’État pour parvenir à plus d’équité est la discrimination positive ;
    • L'inégalité des chances se mesure grâce au taux de chance relative et à l'écart scolaire ;
    • La discrimination en fonction du milieu social à l'école donne naissance à l'étiquetage ;
    • Le capital culturel et économique est à l'origine de nombreuses inégalités sociales ;
    • Le plafond de verre dénonce le fait que dans une société hiérarchisée, l'égalité des chances professionnelles sont différentes pour tous.

    Références

    1. Halpern C (2008), "Peut-on en finir avec le plafond de verre ?", Sciences humaines.com https://www.scienceshumaines.com/peut-on-en-finir-avec-le-plafond-de-verre_fr_22408.html
    2. Forestier C. Keslassy E. (2004). "Pour la discrimination positive à l'école". Les Échos.https://www.lesechos.fr/2004/11/pour-la-discrimination-positive-a-lecole-1063786
    3. Thibert R. (2014). “Discriminations et inégalités à l’école”. Edupass. https://edupass.hypotheses.org/120#A3
    4. "Quelle est l'action de l'école sur les destins individuels et sur l'évolution de la société ?". Kartable.fr https://www.kartable.fr/ressources/ses/cours/quelle-est-laction-de-lecole-sur-les-destins-individuels-et-sur-levolution-de-la-societe/52358
    Questions fréquemment posées en Égalité des chances

    Comment définir l'égalité des chances ? 

    Pour définir l'égalité des chances, comprenons la vision qui se cache derrière. Celle-ci consiste à ce que les individus connaissent des conditions sociales identiques. C'est-à-dire que les personnes disposent de mêmes chances au départ. Par conséquent, que les opportunités ne soient pas définies par l'origine sociale, ethnique et/ou le genre.  

    C'est quoi l'égalité des chances scolaires ? 

    L'égalité des chances scolaires, c'est garantir l'égal accès de l'enfant et de l'adulte à l'instruction, à la formation professionnelle et à la culture.  

    Est-ce que l'égalité des chances existe ? 

    L'égalité des chances est au coeur des dispositifs étatiques. Par exemple, les mesures de discriminations positives qui visent à aider certaines catégories de la population, pour réduire les inégalités. Cependant, ces dernières sont toujours présentes, et l'égalité des chances représente surtout un idéal auquel beaucoup d'états aspirent.  

    Qu'est-ce que l'égalité des chances et des genres ? 

    L'égalité des chances et des genres souhaite plus de parité entre les hommes et les femmes. Par exemple sur le marché de l'emploi, où les femmes sont encore sujettes aux discriminations. L'égalité des chances va prôner certaines mesures pour réduire les inégalités. Notamment concernant les opportunités professionnelles et prétentions salariales.  

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    L'école fait partie du processus de socialisation 

    La discrimination positive consiste à avantager certaines catégories de la population, initialement désavantagées, pour améliorer l’égalité des chances.

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    Équipe enseignants Égalité des chances

    • Temps de lecture: 17 minutes
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